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Quand tous vos rêves d'enfant prennent vie... ca peut vite devenir dangereux.
 
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 #040 - W I L D E

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Alexander Lee Wilde
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Alexander Lee Wilde


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MessageSujet: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitimeMer 5 Déc - 20:50


#040 - W I L D E Dekolette_06 #040 - W I L D E Dekolette_01 #040 - W I L D E Gel_06

"Je ne désire que ce que jamais je ne pourrais avoir.Et cela me brise le cœur."



Par une journée suffocante, elle me fixe de son regard percant. Nous n'ouvrons même pas la bouche, nous savons ce que pense l'autre. C'est donc inutile d'essayer de créer une phrase.

Damaris, dite Aris pour les intimes, se tient devant moi, sa beauté éblouissant parfaitement les personnes alentours. Elle est ma jumelle, et Dieu ce que je la déteste. Mais il sait aussi combien je l'aime. C'est ma soeur, mon double, une énigme vivante. Ses cheveux parfaitement lisses font des envieux dans tout l'internat, elle est connu et ses moindres critiques seront appliqués des le lendemain par tous. Elle est Miss University 2007 et elle tient plus à ce titre qu'à moi-même ai-je l'impression. Et je prie pour que ce ne soit qu'une impression.
C'est fou comme deux etres, nés à quelques 5 minutes d'intervalles, peuvent être differents. J'ai l'impression qu'elle ne tient qu'aux apparences, alors que moi. Elle est sublime, certe, mais elle a plus de poids sur moi que je n'en aurais jamais sur elle. Dans un sens, cela m'agace fortement. Savoir que je suis dirigé pour qu'elle atteigne ses fins. Mais finalement, sans cela, ma vie serait las et monotone. Je préfère me laisser emporter, ne pas tout analyser, ne rien foutre et qu'elle guide mes choix et mes actes plutot que de faire des choix douloureux qui me détruiraient et me sortirait de cette douce acalmie.
Il n’y a qu’Aris qui réussisse a m’influencer. Nous ne sommes pas si différents, elle et moi. Comme elle, j’aime être le centre de mon cercle d’amis et que le monde m’adule, mais je ne suis pas si égoïste, bien que je me montre versatile et futile. Nous avons la classe et faisons des envieux. Le pire, c’est que cela nous plaît. Je suis terriblement orgueilleux. Ca me dégoûte mais c’est ma nature. Je me souviens d’un jour où une personne extérieure , lorsque j’étais à l’école primaire, avait écorché mon nom à l’appel. Je détestais cette école jusqu’alors, mais tout à coup elle m’apparut comme un vaste espace où je pouvais devenir le bourreau d’une centaine de victime potentielles.

« Wiiiiiide Alezannderrr ? »

J’avais bondi sur mes jambes, repoussant bruyamment la chaise de ma table isolée. En effet, j’étais tellement désagréable et hautain avec ces fils de bourges qu’on appelait alors « camarades de classe » que je m’étais retrouvé seul, isolé et je ne m’en portais que mieux. Je devais avoir une dizaine d’années seulement. Mon visage se peignit d’un sourire narquois. Celui que j’affiche encore aujourd’hui.

« Très chère, il s’agit d’Alexander WILDE ! W.i.l.d.e. Wilde ! Tachez à l’avenir de prononcer mon nom avec respect plutôt qu’avec cet infâme accent allemand et cette mine piteuse ! »

La femme, médusée, s’était tut et je m’étais rassis sereinement. Tous les regards s’étaient tournés vers moi et j’adorais cela. Il faut reconnaître que j’avais un certain cran que j’ai conservé. Les mioches de cette école non-mixte m’avaient depuis manger dans la main et j’aimais leur donner des ordres plus stupides les uns que les autres afin qu’il se ridiculise. Et je pris goût à la célébrité. Je devins célèbre pour mon aspect hautain, mon arrogance et mon cran inhabituel, tandis qu’Aris fut, en premier lieu, célèbre pour sa rare beauté qui a attirée les regards comme de vulgaires mouches. Ce doit être environ à cette époque que je connus Rupert, un ami fiable, mais plus encore un fidèle sujet.

J’observe Aris. J’ai presque envie de toucher ses cheveux soyeux, bien qu’elle est horreur de cela, pour montrer au monde que je suis son jumeau, plus encore son frère. Mais je n’ai pas besoin d’elle pour être reconnu, non, ma réputation est basée sur mon charisme, mon cynisme et ma cruauté. Les sujets de mon grand royaume savent qu’il y a un intérêt pour eux à ce que le prince Alexander Lee Wilde ne monte jamais sur le trône. Je n’ai ni peur ni honte. J’assume mes actes. N’est-ce pas ce qu’on appelle être adulte ?
Parfois, je doute. Et oui, malgré les apparences, j’ai plusieurs faiblesses. Mais n’allez pas me poignarder dans le dos. Je me dis que ma vie n’est basée que sur des faux-semblants. Il s’avère que c’est la misérable réalité mais tant que j’ai de l’importance dans son monde prémâché, je me fiche du reste. Je suis très observateur, ce qui s’accompagne d’une rancune tenace. Si je perce votre couverture d’hypocrisie bas de gamme, vous pouvez être sur que votre vie sera un enfer sans fin jusqu’à votre suicide pathétique. Je ne suis pas mauvais, mes hostilités ne vont qu’aux sujets que je ne peux plus blairer sur mon futur royaume. Car je me sens comme un prince à qui tout est permis, les pires atrocités. Je ne connais aucune limite. Sauf peut être sous l’influence de Damaris. Mais, comme tout bon roi que je serais, je ne reprendrais jamais une parole. Comme je ne peux reprendre mon engagement envers Damaris pour écraser sa rivale.

Je tends mes bras minces vers le ciel, m’étirant avec grâce. La nuit va bientôt tombée, en tout cas je l’espère. Et j’espère que la chaleur arrogante du jour laissera place à la brise fraîche de la nuit, qui balayera mon visage quand je sortirais rejoindre mes sujets, réincarnés en amis. Les manches de mon T-shirt, à l’effigie d’un vieux super héros Marvel, tombent sur mes épaules hâlés. Je prie pour que l’été se termine enfin. Ce qui arrivera puisque je l’ai décidé. Je mets mes rayban sur mon nez.

« Aris, je file. Bien que tu t’en foutes royalement. Tout cela ne changera jamais… A plus tard, très chère sœur. »

J’esquisse une révérence et lui tourne le dos, partant en direction de la route. Un sourire ironique naît sur mes lèvres que je ne peux refouler. Et je lui adresse un signe du dos de la main qu’elle ne remarquera certainement pas. Qu’importe.
Je hais l’odeur de mazout qui s’échappe des routes goudronnés quand il fait chaud, tout cela m’écœure, j’ai une sainte horreur de cette odeur qui s’insinue dans ma mémoire. Lorsque je serais le roi du monde, le roi de mon monde, je décréterais que toute les routes doivent être pavées.
Si vous voulez pouvoir m’imaginer dans un rêve, plus particulièrement, si vous rêvez de vous marier au prince de l’horreur, c’est par ici. Je ne juge pas que sur le physique, bien que je plains ceux que la nature n’a pas gâté. Moi, je suis plutôt heureux de ce tirage au sort, j’ai presque tous les bons numéros. Mes traits sont fins, mes yeux sombres perçants. Je suis assez longiligne, je trouve que j’ai d’immenses jambes et cela m’agace car j’ai l’impression d’être une de ces bêtes de foire qu’on appelle mannequins et qui ont des jambes interminables. Mes bras sont très maigres, et je ne suis pas musclé du tout à mon grand damne. J’ai essayé, mais rien n’y fait. Lorsqu’Aris m’a vu avec ces altères, elle s’est royalement foutu de ma gueule en me riant au nez, prétendant que je resterais à jamais une « crevette ». J’ai arrêté par la suite les altères, car elle avait raison, je ne serais jamais une personne musclé que les femmes adulent. Je me suis malheureusement fait une raison.

Je hèle un taxi qui passe juste devant moi. Je pénètre à l’intérieur et indique une adresse au hasard. Ce que je demande, tout le monde l’exécute. Okay, je m’emballe un peu mais je ne suis pas trop loin de la réalité. J’ai envie de fumer, et en même temps je trouve cela pathétique. Quelle nature humaine complexe ! je me las de beaucoup de choses en ce moment. C’est bien dommage. Je suis le prince des dépravés, exécutant ma vie a répétition, c’est habituel. Je hais les habitudes. J’ouvre la fenêtre du taxi et l’air sans aucune humidité me fouette le visage. Voila ce que j’aime. J’aimerais aider le monde. Mais un prince ne peut s’abaisser au niveau de ses sujets. Cela m’attriste énormément mais je comprends que la reine Damaris ne puisse se passer de ma présence.
Mais il y a une chose que je hais faire, et pourtant je l’exécute toujours. Je ne suis qu’un bourreau qui tue chaque jour celle qu’il l’attire tant. Je la tuerais une fois de plus encore si je pouvais l’entrapercevoir, l’observer, ou pire encore, la toucher. Cette personne est la rivale de Aris, et elle est d’une splendeur extrême. Je suis attiré vers elle, comme la fatalité. Ses traits fins et sa peau blanche ont une emprise que je dissimule. Je voudrais l’aider, lui parler autrement que par des railleries, mais je ne peux pas. Ce serait me mettre Damaris à dos à vie. Un prince ne peut se marier avec une personne qui n’est pas de son rang.


Dernière édition par le Sam 8 Déc - 22:34, édité 1 fois
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Alexander Lee Wilde
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MessageSujet: Re: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitimeSam 8 Déc - 22:32

"Comment aurais-je pu résister face à tant de pureté contenu dans une princesse à l’effigie d’un ange ? Mon cheval blanc s’emballa et je ne pus que courir vers elle. Seulement sa belle-mère nous observait par dessus mon épaule, posant sa main de bourreau sur mon cou…"

Le taxi s'arrete et le chauffeur se tourne vers moi. Nous sommes arrivés. Sans un mot, je lui tends un billet qui vaut plus que la valeur du trajet, mais je m'en fous, je pourrais lui en donner des milliers s'il me le demandait. Je sors et d'un geste frénétique que je trouve pitoyable, je sors mon paquet de cigarettes et en allume une. Ce que ca fait du bien. Je jubile en pleine rue, devant les regards étonnés des passants qui n'osent me regarder en face. Je suis le maître, je pourrais les chatié et ils le gardent toujours à l'esprit. La nuit tombe doucement et le ciel bascule vers une couleur plus sombre. Je me souviens lorsqu'Aris et moi sommes allées peindre le casier de Blanche Snow Clark. Je rais tellement que je crus m'étoufer, et finalement c'était mes remords que j'ai étouffé. De toute facon, elle ne me pardonnera jamais ces humiliations cruelles et publiques. Alors autant m'appliquer à la tache. Comment pourrait-elle me pardonner? Je crois que je me suis damné pour Damaris, pour ce lien qui nous unit. Parce que je l'aime. C'est aussi simple que cela. Nous avons tout partagé, les divorces, les remariages, les couches et les balancoires. Alors partageons le luxe, la gloire, la reconnaissance et la beauté.
Ma cigarette ne s'est même pas entièrement consumée que je la jette au sol et l'écrase de mes chaussures cirées. Mes invités m'attendent comme chaque semaine. Il espère vainement profiter de mes atouts. Mais ils sont dans l'erreur, seulement ils n'en ont pas conscience. Et ce n'est pas moi qui briserait leur petit rêve totalement niais. Ou alors certains convoitent Aris, en me maudissant chaque seconde d'etre si proche d'elle. Et ils ont bien raison. je me proclame la personne la plus proche de Damaris. faites sonner les clairons très cher.
Je pénètre dans ce bar qui me semble inconnu et j’aperçois au fond un groupe de jeunes gens. J’enlève mes lunettes que je range et m’approche. Tous leurs regards se tournent instinctivement vers moi. Les personnes normales deviendraient écarlates, rougissants au possible de tant d’attention. Mais je ne suis pas normal. Tout ceci est banal. J’y suis presque galvanisé. Je me laisse tombé sur la banquette abîmée, à coté d’une jeune femme que je ne connais que trop bien. Quel est donc son prénom ? Irène ? Je ne me souviens plus. La mémoire n’est pas mon fort. Cette fille est une vraie rapace, elle est mesquine et perfide, et, par dessus tout cela, elle croit que je n’ai pas remarqué son petit jeu futile. Je lève les yeux au ciel et lui lance un regard dédaigneux, mais son sourire satisfait ne disparaît pas. J’observe les personnes autour de cette table. Rupert se trouve sur la banquette en face de moi et me fait un signe de la tête. Quel orgueilleux personnage. Mais je l’adore quand même.
Cette fille me fixe toujours de son regard, et qui plus est, je ne suis pas au centre du cercle. Cela m’insupporte. Alors je me lève sans un mot de ma démarche fluide et m’affale avec classe entre Gin et Hugh. Il me laisse de la place mais ne sont pas si surpris. Ils commencent à me connaître. En surface du moins.
Le serveur arrive et je croise son regard d’envie qui plane sur nos portables derniers cris et nos apparences splendides. Il serait déçut s’il arrivait un jour à pénétrer dans la vie des aristos d’aujourd’hui. Je lui lance un sourire narquois et questionne du regard mes sujets pour connaître leur envie.

« Une vodka-tonic pour moi ! »

Les autres suivent. Le serveur calcule dans sa tête le nombre de personnes présentes mais je coupe ses réflexions, me levant gracieusement.

« Sept vodka-tonic et moi je prendrais un simple latte. »

Ma voix fut hautaine mais cela m’amuse. Le pauvre serveur dans son habit usé, quoique impeccable, repartit annoncer les commandes avec une mine décrépite. Je jubile. Le reste des personnes présentes me fixent, jurant ma mort pour l’irrespect allant à l’encontre du serveur. Hé oui, plus de deux cents victimes avant vous ont déjà jurés mon arrêt de mort. Je me mets à rire de ce rire cristallin qui leurs donnent subitement la chair de poule. Voyons, je pourrais presque m’offenser. Les personnes âgées complotent déjà la démentellation de ce clan irrespectueux de jeunes.
Le serveur arrive et dépose les consommations sur la table basse pariant pour des malheurs futurs susceptibles de nous arriver. Mon i-phone récemment acquis sonne et je décroche, les murmures de la table se taisant subitement. Sauf ceux de Rupert qui se trouve maintenant à coté de cette Irène.
Je marmonne brièvement quelques mots. J’en ai assez de cet endroit et de ces personnes. Je me tire sans un mot, ce même sourire ne quittant mes lèvres. Une fois sortit, l’obscurité me rassure et j’hume doucement l’air de la pénombre. Un masque de mélancolie s’inscrit sur mes traits. Je désire changer de sujets. Comme c’est drôle ! Je voudrais retomber en enfance, lorsque j’étais un ange, sympathique et non tyrannique. Lorsque j’avais de réel amis. Et non ces aristos ratés qui ne pensent qu’à boire ! Et fumer, c’est d’un ringard. Bien que je l’ai fais tout à l’heure, je reprends ma tentative d’arrêter qui échouera comme toute les autres.
Je suis mélancolique du passé, quand je ne connaissais pas encore Blanche et quand elle ne me haïssait pas autant. Mélancolique de cette enfance que j’ai broyée à coup d’injures puisque j’avais un trône prédestiné. Au final je me répugne. Je ne suis pas comme ca. Je le suis devenu. Je ne voudrais pas être un bourreau. Pas faire parti de ce monde que je hais. J’aurais simplement voulu rester chez moi, à me battre et débattre avec Aris. Voila ce que je désire.
Tout à coup je me trouve ridicule. Les rues sont désertes, à croire que la répugnance est aussi extérieure. J’entends les rires du bar. Je me mets à courir. Courir pour que le vent fouette mon visage. Courir jusqu’au bout de la rue, là, pour atteindre cette cabine. Pour que j’entende une voix qui me remettra les idées en place. Comme si je n’avais pas de téléphone. Mais je veux de l’authentique, une voix déformée par une cabine difforme. Je me mets à rire, d’un rire teinté de folie et de confusions. Je suis bien bas. Je ralentis. J’atteins la cabine. Ma promise. Je pénètre dans cet espace confiné où se mêle l’odeur de différents parfums et de transpiration. J’insère ma carte de crédit et compose le numéro appris par cœur.

« Oui ? »

« Aris ? Aris, Dieu merci tu es rentré. »

« Pourquoi tu t’es inquiété ? T’as plus d’amis maintenant ? T’es pas chez SOS amitié ! »

Et elle raccroche. Cela me sort de la confusion et la torpeur dans laquelles j’étais plongé jusqu'alors. Je sais quelle est ma vie. Je l’ai choisie avant même d’en avoir entièrement conscience. Et maintenant, je suis convaincu que je ne pourrais jamais revenir en arrière. Alors j’espère que toutes ces foutaises se tairont et que je pourrais sortir de cette vie de luxe qui m’influence à être ce que je ne suis pas. Je mérite mieux qu’une vie de débauche entre alcool, sexe et drogue. Je veux plus. Je la veux. Mais je ne peux qu’être le bourreau. Ecoute ca Aris, jamais je ne serais le réel bourreau.
Nouveau sourire narquois. Et je m’enfuis dans la nuit puisque je n’ai qu’elle en cette soirée. Un rire s’échappe de mes lèvres qui se dissipent dans la nuit. Adulez-moi, et haïssez-moi comme jamais. Sans cela, je ne peux vivre. An end has a start darling.




HORS-JEU *


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    - Votre âge : 15
    - Présence sur le forum (sur 7) : 3/7
    - Comment avez-vous trouvé le forum ? Candy chou'
    - Commentaires sur le design : Du Melody. Sublimissime. Wow. Enfin bref'


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Alexander Lee Wilde
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Alexander Lee Wilde


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MessageSujet: Re: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitimeSam 8 Déc - 22:35

E N D.
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Candice Claythorne
FEE DES LILAS *
Candice Claythorne


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Message perso : Illumination
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MessageSujet: Re: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitimeSam 8 Déc - 22:39

welc' chou x3.
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Aurore Mayer
ADMINISTRATRICE *
SLEEPING BEAUTY
Aurore Mayer


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Amis ? Amours ? : { Les triplées { Son prince...
Message perso : Un Jour Viendra Où Tu M'embrassera Et Alors Je Tomberai Dans Tes Bras...
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MessageSujet: Re: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitimeDim 9 Déc - 17:59

Bienvenue =) Désolé je n'avais pas vu que tu avais terminé!

Fiche validée =)
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MessageSujet: Re: #040 - W I L D E   #040 - W I L D E Icon_minitime

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